POUR MONIQUE
Refaire l’ineffable d’hier
au crepuscule,
lorsque le soleil peignait brusquement, enchantant des feuilles oubliées, dans se calmes boulevards.
Calmement nous marchions, par des sentiers sablouveux, des arbres méditaient, graves, à la proximité de la nuit, lorsque des enfants des oiseaux des bicyclettes bruyamment s’envolaient, fragiles, merveilleux, permanents, peut-être plutôt dans notre mémoire, sur d’autres jardins et âges.
D’insuspects sentiers dans le boisde l’absence, qui a existé, oui ou non, can l’oubli n’a jamais en de places, seulement une nostalgie si douloureuse.
Le souvenir de la promenade matinale du ‘Beira-Rio’ jusqu’an quartier ‘Serraria’...m’a apporté des autobusque nous n’attendions pas, et aussi l’août bleu-doré !
Un an s’est decoulé, nous entendons la sonoritéart de la jeune fiele au violoncello.
Porto Alegre, Parque Farroupilha
21 agosto, 1982
Refaire l’ineffable d’hier
au crepuscule,
lorsque le soleil peignait brusquement, enchantant des feuilles oubliées, dans se calmes boulevards.
Calmement nous marchions, par des sentiers sablouveux, des arbres méditaient, graves, à la proximité de la nuit, lorsque des enfants des oiseaux des bicyclettes bruyamment s’envolaient, fragiles, merveilleux, permanents, peut-être plutôt dans notre mémoire, sur d’autres jardins et âges.
D’insuspects sentiers dans le boisde l’absence, qui a existé, oui ou non, can l’oubli n’a jamais en de places, seulement une nostalgie si douloureuse.
Le souvenir de la promenade matinale du ‘Beira-Rio’ jusqu’an quartier ‘Serraria’...m’a apporté des autobusque nous n’attendions pas, et aussi l’août bleu-doré !
Un an s’est decoulé, nous entendons la sonoritéart de la jeune fiele au violoncello.
Porto Alegre, Parque Farroupilha
21 agosto, 1982
Nenhum comentário:
Postar um comentário